Mon petit rugbyman

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il y a 5 ans

A cette époque je me rendais dans une discothèque hétéro, aussi fréquentée par des homos, gays et lesbiennes. La discothèque était aussi le « repère » d'un groupe de rugbymans.

Malgré quelques insultes de ces derniers, à l'égard des homos. Tout le monde passait de très bonnes soirées. Le patron était très sympa et ne voulant pas de problèmes dans son établissement, il disciplinait les égards de ce groupe de sportifs hétéros.

A ce moment, j'étais en couple depuis quelques temps, mais ce n'était plus le bonheur parfait. Ses infidélités incessantes m'accablaient terriblement. Ce soir là à nouveau nous nous étions fâchés et il était partit sans moi.

A la fin de la soirée, fatigué et énervé je me met au bar et commande un dernier verre « pour la route ». La discothèque se vide assez rapidement, puis il ne reste plus qu'une dizaine de personnes. Les yeux noyés dans mon verre, je ne remarque pas un rugbyman, lui aussi tout seul, au bout du bar. Il se place à mes côtés, puis me parle, mais je n'écoute pas ce qu'il me raconte. Pensant qu'il veut m'ennuyer, je lui coupe la parole, et sans même le regarder, d'une voix agacée lui dit :

  • alors là, c'est vraiment pas le moment, fou moi la paix !

Mais il continu à me parler. Je relève les yeux pour le regarder. Il est de petite taille, il porte un t-shirt blanc moulant, qui met son torse finement musclé en valeur. Il me regarde et se dessine sur son visage un sourire magnifique. Je le trouve charmant. Je me radoucis et cette fois fait un peu plus attention à ses propos. Il me dit :

  • je ne veux pas t'embêter je veux juste te parler.

  • ha oui et tu veux me parler de quoi ?

Il se présente en me disant son prénom et m'explique qu'il n'a rien contre les homos, Il me dit qu'il travaille sur des chantiers. Il me demande quel est mon prénom, quel âge j'ai et ce que je fais dans la vie. Je réponds à toutes ses questions. Puis il continu à me parler mais je suis fatigué et la seule phrase qui se dégage des autres et qui me fait réagir et qui me réveille c'est :

  • on pourrait rentrer ensemble, en fait je suis bisexuel. J'habite au centre ville on peut y aller à pieds.

A cette proposition, sans réfléchir, je réponds de suite oui. Ravi il me dit qu'il va m'attendre dehors. Je fini mon verre rapidement puis rejoins mon nouveau copain.

Dehors, le jour se lève, en ce dimanche matin il n'y a pas grand monde dans les rues. Mon petit rugbyman va se montrer très tendre, il me prendra la main et parfois mettra un bras autour de mes épaules et comme j'ai un peu froid il me prêtera sa veste. A un moment, il me bloquera prestement mais avec tendresse, dans une porte cochère pour me donner son premier baisé. Il embrasse divinement bien, j'ai presque défailli. Tout ce qu'il me fait me procure des sensations de bien-être. J'en oubli même mon copain qui lui, par pudeur ou par paresse, ne me donne que rarement des preuves d'amour.

A un moment il me fait une révélation, il me raconte que s'il est bi, c'est qu'il a découvert ses penchants en prison avec le mec qui partageait sa cellule.

Je pose la question fatidique dont la réponse me glace le s a n g :

  • pour quelle raison tu as fait de la prison ?

D'un air grave il me répond :

  • j'ai butté un gars à coup de fusil.

Totalement déconcerté et troublé, on en restera là, je préfère ne pas y penser, et je sens bien que lui aussi (je tairai les raisons de son geste qu'il m'a expliqué plus tard mais qui, selon ses dires, n'absout pas ce qu'il a fait).

Enfin, on arrive chez lui, à peine passé la porte se son appartement il me colle au mur et m'embrasse à nouveau avec une délicatesse folle. Il presse son corps contre le mien, et je ressens contre ma jambe son sexe déjà bien bandé. La réponse de mon corps ne se fait pas attendre et ma bite se raidit rapidement. Puis, je le caresse en descendant une main vers son entre jambe, mais il me stoppe net en me disant de me calmer un peu. C'est lui qui me chauffe à m o r t et il veut que je me calme !

Il me propose un café, que j'accepte volontiers (ça va me faire du bien). Alors que je m'assoie sur une chaise, je suis dos à lui. Derrière moi, il prépare le café.Une pensée me traverse l'esprit, j'aimerais qu'il se place derrière moi qu'il mette ses mains sur mes épaules et qu'il me caresse le torse en descendant vers ma taille et qu'il m'embrasse dans le cou. Chose invraisemblable, comme s'il avait lu dans mes pensées, il fait exactement ce que je voulais. Je ne peux pas vous exprimer ce que j'ai ressenti à ce moment précis. J'ai manqué de m'évanouir.

Ensuite, on boit le café, puis il me propose de prendre une douche. Je suis enchanté d'être tombés sur un mec aussi soucieux que moi sur l'hygiène. Je vais pour me déshabiller, mais il s'approche de moi et me dit :

  • laisse moi faire.

J'adore que l'on me déshabille (il a fait des recherches sur moi, ce n'est pas possible).

Puis, délicatement, il m'ôte vêtement après vêtement. Je me retrouve en slip, qui dissimule difficilement une érection monumentale. Très intimidé, j'essaie de la cacher de mes mains, ce qui le fait beaucoup rire. A son tour, il se déshabille très vite, puis, en boxer déformé par une grosse bosse, il me dit :

  • ne sois pas si gêné, regarde moi aussi j'ai un petit problème. Et puis franchement, tu n'as aucune raison d'être embarrassé, tu devrais plutôt être fier vu la taille de ta bite.

Je me détends un peu, puis il s'approche de moi, on s'enlace, on s'embrasse et les dernières pièces de vêtement tombent à terre. On passe sous la douche et il me demande, (pour faire monter encore plus la pression), de ne pas lui toucher, ni les fesses, ni le sexe. Mais je peux lui savonner tout le reste du corps. Il fera de même avec moi. Pendant toute la durée de la douche j'ai pu admirer son sexe en semi érection. Une queue d'une taille très respectable, circoncise, comme moi. Ensuite, tout seul on s'occupe de laver nos parties intimes, on sort de la douche, on se sèche et on passe dans la chambre.

Là, il me prend dans ses bras en me renverse sur le lit. Son corps sur le mien, je sens sa queue contre mon ventre qui a pris une très belle taille. On va rester longtemps à se caresser l'un sur l'autre. Puis il se relève un peu me regarde et me dit :

  • tu es très beau, je suis content que tu sois venu.

Il commence par me caresser la bite puis approche son visage vers mon bas ventre pour me faire une fellation exquise. Il me procurera beaucoup de plaisir pendant plusieurs minutes interminables. Maintenant, c'est à mon tour, je commence par effleurer son sexe de mes mains, les bouts de mes doigts vont agacer délicatement le gland rougi d'excitation. Puis ma bouche prend le relais. Je lui lance un regard fiévreux, j'approche mes lèvres ouvertes au plus prés de sa bite. Ensuite je prends adroitement en bouche ce morceau de chair qui vibre sous mes caresses buccales.

J'alterne entre pipes bien profondes et douces t o r t u r e s de ma langue sur son gros gland.

Il apprécie et ne manque pas de me le dire. Puis, il va me faire remonter le long de son corps d'athlète. Il me demande :

  • tu es quoi au lit ?

  • je suis recto verso.

Mais ce matin, je veux qu'il me prenne et je lui dis :

  • je veux que tu me prennes

Là je vais vivre une expérience magique et rare.

Je me place sur le dos, il comprend la position que je veux réaliser avec lui. Je désire discerner sur son visage les signes de son contentement. Après avoir enfilé un préservatif, il relève mes jambes sur mon torse. Je me sens bien ouvert et tout en me fixant de son regard fébrile, je ressens son gland sur mon anus. Sa queue f o r c e mon intimité et glisse au fond de moi avec une aisance évidente. Il commence de longs va et vient terriblement exquis, alors que, commence à sortit de ma bouche, des gémissements bruyant. Pour que je fasse moins de bruit, il m'embrasse fiévreusement, mais le plaisir qu'il me procure est si fort qu'il n'y arrive pas.

Ses mouvements et ses soupirs deviennent de plus en plus rapides. Moi je commence à perdre la tête. Cela fait si longtemps que je n'avais pas pris autant de plaisir et je distingue sur son visage que lui aussi. Puis, ses coups de bassins deviennent plus saccadés et v i o l ents et son souffle devient plus court et rauque. Je sens dans mon ventre, une sensation étrange, mais fantastique et troublante. Et alors qu'il joui dans mon cul en poussant un cri de bête en rut, mon corps est parcouru de v i o l entes secousses incontrôlables et j'éjacule sans m'être touché, une grosse quantité de sperme, qui vient maculer mon torse et même mon cou.

Il se retire et tombe enchanté à mes coté, il se colle à moi et pose sa tête sur mon épaule.

Des petites larmes perles à mes paupières il les remarque et me demande :

  • tu pleures, ça ne va pas ?

  • ce n'est pas des larmes de tristesse, mais des larmes de bien-être.

Je lui explique que quand j'atteins un orgasme anal, j'ai toujours quelques petites larmes qui me viennent aux yeux.

Il me regarde arborant son sourire craquant, et me dit de la façon la plus séduisante qui soit :

  • moi je n'ai pas joui... J'ai eu un orgasme exceptionnel. Je pense qu'avant aujourd'hui, je n'ai jamais ressentit autant de bonheur.

  • tu me dis ça pour me faire plaisir ?

  • non c'est vrai.

Après s'être tout deux, un peu reposé, il a quand même fallut que je parte rejoindre mon domicile. Mon copain a cru le mensonge que je lui ai raconté. Je n'avais jamais été infidèle, mon « cher » copain lui s'en donnait à c?ur joie et me disait qu'il ne recommencerais pas, tu parles ! Ce n'est pas pour ça, que je ne me sentais ni honteux, ni coupable, mais surtout parce que j'avais fait l'amour merveilleusement avec un mec qui m'avait respecté.

J'ai revu plusieurs fois mon petit rugbyman bisexuel et ex-taulard.

Seithan

Humm très jolie
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